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Louise Reader

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Description
Ces poèmes du fondateur de « la Nouvelle école romane », écrits entre 1960 et 1987, présentent une musique du vers très subtile. L’imaginaire est mis à contribution avec mesure et une totale clarté, « loin des sentiers de frénésie ». La rime est d’une riche mélancolie : « Mon cœur, mon cœur, qui donc me l’a blessé ? ». Si « tendresse » rime ici, le plus souvent, avec « détresse », une sorte de fierté et de fraternité humanistes dominent et maîtrisent la souffrance. Le temps est perçu comme une denrée rare, la noblesse du mobile est la seule issue, l’âme se repaît du chant des lieux aimés et de l’amour unique. En clôture du « Troisième recueil » éclate un poème pathétique, et comme prémonitoire. Ces Poèmes nouveaux le demeurent encore aujourd’hui et cristallisent une présence sensible et chaleureuse.
Pages
100 pages
Collection
Poésie
Parution
1991-01-01
Marque
FeniXX réédition numérique (Milieu du jour)
EAN papier
9782307330981
EAN EPUB SANS DRM
9782307330981

Prix
6,49 €

Constantin Castéropoulos est né au Pirée (Grèce), le 25 avril 1915 et disparu le 1er septembre 1989. Français, par naturalisation de ses parents en 1934. Séjour en France depuis 1916, sauf interruptions de 1919 à 1922, et de 1938 à 1941 (séjour en Grèce). Certificat d’études primaires en 1927. Autodidacte de 1927 à 1939 (soigné pour tuberculose pulmonaire de 1934 à 1938). Études à l’Institut français d’Athènes de 1939 à 1941 (professeur de français en 1941). Entré aux Assurances sociales et marié en 1945. Névrose grave en 1953. Invalide en 1954. Publication du recueil “Les fleurs nouvelles” (poèmes écrits de 1945 à 1951) en 1954, et du recueil “Poèmes nouveaux” (ces derniers, pour la plupart, parus dans les revues) en 1969, d’un deuxième recueil “Poèmes nouveaux” en 1973, et d’un dernier recueil “Quatrains” en 1986. Œuvre poétique manuscrite et imprimée conservée par les Bibliothèques nationales de France et de Grèce, la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet, la Bibliothèque de la ville de Marseille. Fondateur, en 1979, du Mouvement de la “Nouvelle école romane” (néo-romanisme), qui s’est fixé pour but de créer une nouvelle poésie “synthétique” et plus “harmonieuse”, “un art verbal supérieur”, en relation avec la poésie grecque moderne.