L’auteur n’est d’ailleurs pas plus indulgent envers lui-même : il s’imagine transformé en un affreux objet passant dans une salle des ventes diabolique et expiant, dans un enfer Kitch, d’avoir trop souvent préféré les meubles aux humains, d’avoir eu dans sa vie plus de maisons que de femmes, et peut-être d’avoir un peu trop pratiqué “cet art élégant de se faire des ennemis”.